dimanche 23 janvier 2011
Ambition
Chez Roberto, deux stella artois
Amandine : bon, concernant la fin, je propose que tu souffres, mais avec beaucoup de dignité.
Lucie : pas question.
Amandine : tu veux mettre le feu à l’atelier, c’est ça ?
Lucie : non.
Amandine : je sais ! Tu rencontres le fils du patron qui, bouleversé par le coût humain du travail en filature, augmente les salaires et vous offre des conditions de travail décentes ?
Lucie : pas crédible.
Amandine : tu pars aux Etats-Unis d’Amérique ouvrir la première école française ?
Lucie : ta mère a raison, t’aurais du être institutrice.
Amandine : Lucie, encore une remarque de ce genre, et j’écris vingt pages sur les mœurs perverties en filature.
Lucie : pardon. En fait, j’ai bien une petite idée…Si tu veux bien, j'aimerais être la première femme à intégrer le club ratier de Lille Fives.
Amandine : Heu… T'es sure? L’éditeur risque de tiquer un peu…
Lucie : C’est pas toi qui parlais de solidarité ?
Amandine : bon, concernant la fin, je propose que tu souffres, mais avec beaucoup de dignité.
Lucie : pas question.
Amandine : tu veux mettre le feu à l’atelier, c’est ça ?
Lucie : non.
Amandine : je sais ! Tu rencontres le fils du patron qui, bouleversé par le coût humain du travail en filature, augmente les salaires et vous offre des conditions de travail décentes ?
Lucie : pas crédible.
Amandine : tu pars aux Etats-Unis d’Amérique ouvrir la première école française ?
Lucie : ta mère a raison, t’aurais du être institutrice.
Amandine : Lucie, encore une remarque de ce genre, et j’écris vingt pages sur les mœurs perverties en filature.
Lucie : pardon. En fait, j’ai bien une petite idée…Si tu veux bien, j'aimerais être la première femme à intégrer le club ratier de Lille Fives.
Amandine : Heu… T'es sure? L’éditeur risque de tiquer un peu…
Lucie : C’est pas toi qui parlais de solidarité ?
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