jeudi 25 novembre 2010

Les Rencontre(s) en Aparté - dimanche 28 novembre


Rendez-vous ce dimanche 28 novembre à 16h au Théâtre Massenet pour une présentation en public des travaux de résidence d'Amandine Dhée, Carole Fives et Louise Bronx.

Vous pourrez aussi entendre Robert Rapilly, accompagné de Martin Granger, invité par la Contre Allée à se pencher sur l'histoire des ouvriers de Fives Cail partis en 1890 construire le chemin de fer en Argentine.


Réservations :
Théâtre Massenet
03 20 04 81 65
http://www.theatre-massenet.com/

mercredi 24 novembre 2010

Pendant ce temps, au Théâtre Massenet... Carnets d'En Aparté

A une poignée de jours de la représentation au Théâtre Massenet, l'heure est aux répétitions.

Les artistes se succèdent sur le plateau, il s'agit tout à la fois de trouver ses marques, d'habituer la voix, le corps, à un espace nouveau.

Voici quelques photos prises ces derniers jours :


Carole Fives






Robert Rapilly


Carole Fives et Amandine Dhée


Nicolas Chimot

Lecture chez l'habitant, deuxième !



Le rendez-vous était fixé rue Désaugiers, le mercredi 17 novembre, pour un nouvel épisode des lectures En Aparté...

Des mots de spectateurs écrits à la fin de la lecture, impressions sur le vif qui représentent finalement le meilleur témoignage :
"Un super spectacle, plein d'émotions et de rires! Bravo et merci" F.C

"Chez Brigitte, on vient écouter Fives, en soirée littéraire sonore, ou inventer un SEL* plein de néo-fivois. Merci!" P.

"A chaque fois surprise par vos prestations. Bravo pour originalité et votre dynamisme" A.
"Continuez les filles, c'est un beau combat... sans violence!" N.

"Félicitations à Gisèle, Christine, Ghilaisne, Simone, Isabelle, Hélène, Louise, Amandine, Rosemonde, Carole... On vous aime!!" L. et J.

"Entre émotions et frissons, trois nanas super chouettes nous content ... Femmes de Fives! " A-S

"Merci pour la meilleure fête de Fives ! " E.






dimanche 21 novembre 2010

la devise du jour

La devise du patron : toujours le dernier à l'atelier.

C'est qu'il a des responsabilités. (L'homme le plus parfait est celui qui s'occupe toujours de ses frères).

Ses ouvriers il les a pas oublié, ils l'auront leur part de progrès. La vision est grande, y'a de la place pour tout le monde.

Mais vous savez, si on leur donnait plus d'argent ils iraient droit au cabaret. (Celui qui fait toujours ce qu'il veut fait rarement ce qu'il doit).

Mieux vaut montrer le droit chemin et leur offrir gentiment un jardin (La récompense d'une bonne action est de l'avoir faite).

Toujours le dernier à l'atelier.

Et comme n'importe quelle pièce de coton j'ajuste à ma taille la religion, car c'est lui qui nous a faits, nous souffrons en lui afin d'être glorifiés avec lui. J'estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir révélée pour nous.

Espérance, les ouvriers.

Prime de travail et d'assiduité.

mardi 16 novembre 2010

Une première rue de Madagascar !



Pour cette première lecture En aparté 2010 chez l'habitant, nous remercions sincèrement Marie Ginet qui aura accompagné Amandine Dhée et Louise Bronx et incarné la voix de Carole Fives avec enthousiasme et un plaisir visiblement communicatif et partagé!




"... Un grand merci à ces artistes qui font vivre la mémoire -riche - de notre quartier.
Bonne continuation dans cette
voie et bravo pour l'interprétation." M.A


"Merci beaucoup de nous avoir emmené dans ce voyage dans le temps" P.

"... Pour moi, c'est la page 13 ! Mais pas pour vous... "L'éternité n'est pas de trop" pour bien faire. Vive les femmes! Bravo. M.

"Merci pour cette super soirée, pleine d'évocations, de souvenirs... D.

"Bravo pour cette vie, ces textes, cette musique. Belle soirée! FX.




lundi 1 novembre 2010

Echange

Carole : Y'a Martha Desrumeaux.

Amandine : y’a Martha Desrumeaux c'est trop la classe, militante, industrie textile, pile poil la bonne époque ! Mais elle est pas de Fives. Je préfère pas mentir, ça risque de se voir. J'ai pas envie que quelqu'un se lève pendant la lecture en criant « Imposteure! ».

En même temps j'y peux rien si Fives sait pas fabriquer des héroïnes.

Carole : Madeleine Caulier?

Amandine : Madeleine Caulier? Qui traverse les lignes ennemies, gagne le statut de soldat et meurt glorieusement sur le front - tout ça pour avoir une station de métro à son nom?...

Moi j'aimerais bien parler des femmes géants qu'ils construisent dans le Nord, à chaque fois ils leur font des grosses mains d'hommes, ça m'énerve.